Il montre un peu plus qu'elle est sienne, ou du moins qu'elle a assez de valeur assez yeux pour qu'il ne part pas. Une fois qu'il a joui en elle, il lui prend un baiser. Un baiser au quel elle répond. Un baiser au quel elle prend gout. Des lèvres qu'elle aime embrasser. Il la prend dans ses bras. Elle est bien. Il s'octroie un cigarette, elle sourit tendrement. Non, fais ce que tu veux. Elle lui rend encore un sourire. Et elle se dit qu'elle devra racheter des clopes à la menthe. Pas maintenant, elle est trop bien.

Elle esquisse un léger sourire, et dépose sa tête contre son épaule. Sa tête vide. Sa tête qui ne pense à rien. Elle sourit, toujours, depuis qu'elle est ici. Comme si tout allait bien. Comme une bulle qui lui permet de tenir. Qui lui permet de dire que tout va bien. Toi aussi. Ce n'est pas un toi aussi pour ne pas laisser la phrase vide. Elle pense ces deux mots, sincèrement, juste qu'elle est un peu handicapé, et ce genre de phrase, des phrases à trois mots, il devra attendre. Merci. Elle tira un latte, et la remet directement dans la bouche de Nem. Ca va l'tattoo, t'as pas trop mal ?  

je souris doucement quand elle répond. c'est timide comme début, c'est maladroit entre nous. mais ça va, c'est pas trop mal. ça avance tout doucement. je pose ma tête sur son ventre, me tournant dans le pieu. la clpe retourne entre mes lèvres et jepose mes yeux sur elle. non, ça va. j'ai l'habitude. petite pause. tu veux faire quoi ?

je me retourne, mes doigts frôlent doucement son ventre, mes lèvres se posent au-dessus de son nombril. mmh. je suis habitué à tes méthodes de barbare. un sourire ailleurs aux lèvres, je ferme les yeux, frémissant en sentant ses doigts dans mes cheveux. j'ai la flemme de les chercher. je lève les yeux aux cieux et me redresse pour trouver ses lèvres. des clopes à la menthe ? c'pour les tapettes.

Mes méthodes barbares ? Tu es peut-être atteinte d'analgésie congénitale aussi. Elle lui lance un sourire taquin. Elle adore ce genre de moment. Juste lui et elle. C'est con. Elle est pas ce genre de fille. Mais c'est comme ça pour elle. Elle lui dira un jour. Peut-être. Entre temps, elle envoie des signaux. Les sourires, ou les petites attentions. Je peux y aller, hein. J'suis pas encore handicapée. Elle lui répond, en posant ses mains sur ses épaules. Pour le basculer sur le lit. Elle se lève, et lui tire la langue. Alors, j'en suis une c'est ça ? Parait que c'est un fantasme d'homme. De voir deux lesbiennes. estime toi heureux alors, tu pourras peut-être voir ça. Elle lâche un p'tit rire, et part chercher les pizzas.  

color=#B7CA79]Insensible à la douleur.[/color] Elle lui tire la langue. Elle en sait pas plus que ce qu'elle lit. Pour le peu d'étude qu'elle a suivi. Et les cours de sociologies, elle a laissé tombé. Elle est juste inscrite. Ca la fait marrer, de l'argent pour rien. Elle n'est pas fait pour ça façon. Me regarde pas comme ça, c'est presqu'indécent - rire - je fais vite. Elle prend à peine deux minutes. Déjà habitué à une maison qui n'est pas la sienne. Elle dépose la bouffe sur le lit, en souriant. Fatigué ?

De ma faute ? Je peux encore plus t'épuiser si tu veux. Elle lui répond en dessinant les courbes de son torses, ne lâchant ses lèvres seulement pour respirer. On se demande de quoi tu as faim. Elle descend ses mains, en reprenant ses lèvres. Un léger sourire.

je frémis en la sentant faire, souriant contre ses lèvres alors que je passe mes mains dans ses cheveux. et de quoi j'ai faim exactement ? je sens sa main descendre sous les draps et reprend possession de ses lèvres, les yeux clos. on est insatiable putain.

De moi ? Elle sourit de façon explicite. Elle aime le contente de sa peau contre la sienne. elle aime être contre lui. Sentir ses lèvres contre les siennes. Doucement, elle remonte sa main, et la passe dans ses cheveux. Mais tu me mangeras après, là, je meuuurs de faim ! Regarde, je perds du poids à vu d'oeil. Elle rit, et se relève, après un dernier baiser, et ouvre la boite à pizza. .