Des structures dignes de l'aéronautique aux couleurs de paon, des moteurs chauds comme un radiateur, des peluches anticonstitutionnellement importées de Chine, des jeux d'animal-crossing, le tout tenus ou vendus par des hommes qui devaient avoir des casiers judiciaires. Mais pas de stand à tartiflette. Voilà le parc d'attraction "dreamworld". Je regarde un cerf-volant en jetant mes restes du burger king. Au stand de tir, on peut gagner des trucs à faire des bulles de savon, des t-shirt "I love Paris", un laboratoire pour apprentis chimiste, des papiers pour notre courrier aux couleurs criardes aussi moches que des torchons, des fausses armes pour mini-tueuse et des épisodes de vieilles séries. Tout ça me donne envie d'envoyer le forain à l'hôpital, castré comme un mouton.