Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.

Il avance sur la plage, la main de Lola dans la sienne. C’est la première fois qu’il voit autre chose que du sable et des cochonneries recouvrir la plage. Et il faut dire que la couche blanche qui s’y est déposée lui donne un certain charme. Comme quoi les repas de familles n’ont pas que du négatif quand il y a quelqu’un pour fuir la compagnie parentale.Ca fait 1 an que Kyle est mort, 4 mois qu’Ezra est au courant de sa meurtrière. Autant de temps qu’il se rapproche de Lola à la recherche de ses points faibles. Il les découvre petit à petit mais il commence aussi à s’attacher à elle, à force de lui prêter une oreille attentive. Il ne s’en rend pas réellement compte. Il met l’envie de l’avoir pour lui sur le coup de la vengeance, pas d’un début de sentiments. Et pourtant ils se retrouvent là, au coucher du soleil. Ezra avec une couverture sous le bras qu’il installe au sol avant d’y prendre place au côté de Lola. « J’t’écouterais plus souvent quand tu voudras aller quelque part. » Il sourit tendrement, heureux d’avoir accepté sa demande et de se retrouver devant ce spectacle.  

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

Elle a fini par laissé le temps faire son chemin, il y a un an, Kyle est mort, elle a tué l'homme de sa vie, elle ne s'en remet pas malgré les éternels sourires qu'elle offre, les éternels : Je vais bien, alors qu'elle ne va pas bien, non, elle a mal à chaque pas qu'elle fait, chaque fois qu'elle se retrouve dans l'appartement de Kyle, elle a le coeur qui se sert un peu plus, mais il y a Ezra maintenant, elle ne sait plus quand il est entré dans sa vie, ce qu'elle sait, c'est qu'il s'est insidieusement intégré dans son coeur sans qu'elle s'en rende compte. Et elle ne sait pas pourquoi elle a accepté ce voyage, elle qui fuyait l'Angleterre, elle se retrouvait là, sur la plage, à regarder la neige tombée sur eux. Elle aimait la neige, elle aime la plage sous la neige. Elle se met près de lui, en riant doucement. C'est un des rares endroits où je peux t'emmener sans avoir peur qu'il te déplait. Elle rit doucement, et dépose sa tête sur son épaule. Je regrette qu'en Australie, il ne neige pas. Ca me manque de venir ici. Elle ferme les yeux, en lui prenant la main. On a qu'à revenir ici dès qu'on peut, si l'endroit te plait tant.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.
C’est bizarre de se trouver ici avec ce qui est censé être une amie, surtout devant un tel paysage. Il ressemble plus à celui de cartes postales ou des films lorsque deux amoureux se retrouvent. Non, il ne se retrouverait pas en couple avec elle. Il n’en ressent pas le besoin ou l’envie malgré sa présence qu’il apprécie beaucoup trop.  « Je pensais que tu connaîtrais un peu plus d’endroits plaisant dans ta ville. » Il la taquine. Il ne s’attendait pas à visiter la ville et de toute manière, il n’était pas un grand fan des longues ballades.  Il passe son bras autour d’elle , en la sentant se rapprocher. « Je préfère qu’il neige pas trop souvent, il fait froid. » Ce n’est pas le t-shirt et le gilet qu’il porte par-dessus qui le réchauffe. C’est ça de faire sa valise sans réfléchir : aucun vêtements correspondant à la température du pays.  Il se sert un peu plus à elle pour chercher la chaleur qu’il ne trouve pas. «  On a encore une semaine pour venir autant de fois que tu veux. » Il lui dépose un rapide baiser sur le front... Peut-être qu’il y pense un peu à sortir avec elle.  

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

C'est l'un de ses paysages favoris, un de ceux qu'elle préfère dans tout les cas, elle se sent bien ici, et étrangement avec Ezra. J'ai une mémoire de poisson rouge ! Je ne me souviens pas des lieus aussi insignifiants, peut-être que si on retourne ici, une fois. A deux. Même si elle ne songe pas à une vie de couple avec lui, elle se sent bien avec lui, c'est comme ça depuis le début, mais elle n'est pas prête pour une vie de couple, à nouveau. Sauf quand il s'agira de lui faire sa valise, elle rit doucement, il avait qu'à prendre un gros pull tien ! La prochaine fois, tu prendras un gros pull, non ? Enfin, appelle moi, pour quand tu feras ta valise ! Elle passe ses bras autour de lui pour limiter les dégâts, ou plus tot, le froid. Elle esquisse un sourire. Seulement, si toi, tu le veux. Je pourrais crever ici, tu sais. Je te vois mal faire rester ici une semaine sans bouger. On mourra de froid, l'un contre l'autre. Elle sourit doucement, et dépose un baiser sur le nez.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.

Il rigole en entendant sa proposition pour sa valise. « La prochaine fois, je prendrai des pulls. Mais fais attention, je retiens ta proposition. » Il sourit amusé. Ca se voyait donc à ce point qu’à 22 ans, il n’avait jamais fait une valise de sa vie ? Ou pas de la bonne façon en tout cas. «  C’est la fille qu’on est censé réchauffé, pas l’inverse. »Il rigole avant d’esquisser une mine séductrice, ses lèvres en cul de poule,  il papillonne doucement des cils. «  Lola, tu me réchauffes ? J’ai froid. » Il éclate de rire à cette imitation médiocre, sans se gêner pour prendre une meilleure place entre ses bras et la serrer un peu plus contre lui.  Il secoue la tête comme si une mouche était venu se poser sur son nez lorsqu’elle lui offre un baiser dessus. Peu  habitué à ce genre de geste. «  Retrouvé congelé au printemps ? T’auras gagné quelques mois sans devoir vieillir. -rires- C’est assez joli pour que je veuille bien passer tous les jours si ça te fais plaisir. »  

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

Elle rit doucement, elle aime l'idée qu'il est besoin d'elle pou l'une ou l'autre tâche sans qu'elle sache pourquoi ou la raison, sans qu'elle sache vraiment quelque chose sur ce qu'elle veut, elle aime juste savoir qu'elle peut lui être utile. J'attends ton coup de fils ! Elle rit face à sa réflexion, et face aux grimaces qu'il fait, il y a longtemps qu'elle a ri comme ça, qu'elle s'est montrée aussi proche avec un homme, c'est peut-être un honneur pour lui, ou pour elle ? Elle s'en fiche. Tu peux jouer les filles tant que tu veux ! Elle sent un peu plus son étreinte , elle esquissa un sourire, en fermant les yeux. Tant que tu peux rester avec moi, c'est le principale. Elle le regarde, en souriant. Elle lui esquissa un sourire dont elle offrait à Kyle.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.

« A condition qu’on puisse se vernir mutuellement les ongles, j’en ai toujours rêvé ! On pourra même parler de garçons.» Il a dit ça sur un ton tout excitée, comme un gamin impatient d'arriver au jour-j.Il rigole encore. Ezra n’a pas du tout une image stéréotype de soirée entre filles, qu’est ce qui pourrait lui faire penser ça ? Il se rend compte qu’il s’est rarement senti aussi bien avec une femme dans  ses bras. Il a rarement eu le cœur aussi léger, il s’est rarement envolé aussi rapidement. Ezra a rarement prit des paroles comme celles prononcées de manière si sérieuse. Il sourit, un sourire d’amoureux, sans qu’il ne s’en rende compte. «  Tu le dis à beaucoup de monde ça ? » Il joue avec une de ses mèches de cheveux, avant de stopper. Il pose ses yeux sur les lèvres de Lola et  les remonte rapidement pour se plonger dans le regard de Lola. «  Il faudrait que tu sois ma copine pour que je ne te quittes jamais. Je suis pas sûr que la future madame Harris apprécie beaucoup ma mort dans tes bras. » Encore un léger rire, avant de lui poser un baiser sur le front.

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

Elle explose de rire, elle se sent bien dans ses bras, elle adore la présence d'Ezra, c'est magique pour elle, un peu comme un retour en douceur, un petit coin de paradis. Malgré la neige, et le froid, mais elle se sent bien, elle arrive à rire. Mais elle a peur du retour, de l'après, sauf qu'il est trop tôt pour penser à ça, elle est bien contre lui, elle remarque son sourire, puis elle lui rendit un sourire indique sans qu'elle se rende compte non plus. Non, elle ne dit pas ça à tout le monde. Non. Depuis Kyle, ça fait un an, trois mois, et dix-sept jours que je n'ai pas dit ça à quelqu'un. Elle murmure, en baissant le regard. Oui, elle compte les jours, elle doit être pitoyable, mais elle ferme les yeux, en l'entendant. Une autre a déjà pris ma place -rire.- Pour que je sois ta copine, il faudrait que tu me le proposes. Elle lui jette un regard, en souriant à son baiser, soudain, elle se lève, et le fait lever avec elle. Elle passe ses bras autour de son cou, et se met à danser sous la neige, un de ses plus vieux rêves que personne ne lui a offert. Elle murmure doucement les paroles de Down, Jason walker, en souriant.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.
«  Ça doit être ennuyant depuis pour que tu comptes les jours. » Il sourit tendrement en lui murmurant les mots sur le même ton. Lui proposer d’être sa copine ? Elle parle sérieusement ? Son cœur a manqué un battement. Il se lève avec elle et passe ses bras au-dessus de ses hanches. Il pose son visage contre la chevelure de Lola et se laisse bercer par le son de sa voix. Un slow sous la neige,  il ne pouvait pas rêver plus romantique avec elle. A croire qu’elle le poussait à la désirer.  Il décolle son visage pour l’observer, ses traits fins , ses yeux noisettes, ses long cheveux noirs,… Et surtout ses lèvres. Il la regarde longuement dans les yeux, en continuant à bouger sur le son de sa voix. Il rapproche doucement son visage du sien pour finir par y déposer un baiser, peu certain de ce qu’il fait et de la réaction de sa partenaire.

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

Ce n'est pas ennuyant, elle voit juste le temps à peine passé, pour elle, ça va trop lentement, ça ne va pas assez vite. Il n'y a qu'un an qu'il est mort, mais elle aimerait dire : Il y a déjà dix ans. Elle hausse les épaules, pour toute réponse, parce qu'il n'y a que ça à répondre. Elle le lève, et elle se lève avec lui, et le fait danser sous sa la neige, en souriant doucement, murmurant les paroles d'une des ses chansons favorites. Elle le regarde le regarder, et sourit doucement, et entre ouvre les lèvres, pour répondre à son baiser, elle passe ses bras autour de son cou, en le serrant doucement. Elle ferme doucement les yeux, et mit fin au baiser à regret. Elle le regarde par la suite. On est ensemble ? Elle murmure la question en gardant un sourire doux et tendre.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.

Ezra a le cœur qui bat fort, il s’accélère à chaque fois qu’il se rapproche de Lola. Il est sur le point d’exploser quand ses lèvres se posent sur les siennes. Même s’il est soulagé qu’elle le lui rende. Il n’aurait pas su comment réagir sinon. Il ouvre les yeux quand il sent les lèvres quitter les siennes. Ses yeux pétillants posé sur dans ceux de Lola. Si on lui aurait dit qu’un jour, il ressentirait des sentiments aussi vifs pour la meurtrière de son frère.  Il sourit bêtement à sa question. «  Si tu te sens capable de me supporter. »  Il cherche une nouvelle fois  le contact de sa bouche, en lui caressant le dos. « Ca me dérangerait pas de geler sur la plage avec toi. » Il doit ressembler à un imbécile heureux à sortir ce genre de bêtise. Surtout quand ses  yeux sont aussi brillants de bonheur.

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

Elle se sent comme une amoureuse de quinze ans, devant son premier amour, elle rit doucement, de plaisir, de bonheur, elle ne sait pas ce qui lui prend, elle se sent bien, dans ses bras, là, à danser, et puis, il y a eu le baiser, il y a des trucs comme dans les livres qu'elle lit, des papillons dans le ventre. Vraiment, elle doit faire pitié à penser à ça, mais elle s'en fiche, elle est heureuse, elle est heureuse, ou presque, elle est bien comme ça. Elle le regarde quand il parle, et l'embrasse doucement. Je te propose, c'est que je serai te supporter. Et toi, tu veux d'une veuve ? Elle reste prés de lui, en souriant doucement, elle est heureuse, ça sonne bizarre dans son esprit, parce qu'il y a Kyle qui la rendait heureuse, et maintenant, c'est Ezra. Contente toi de me combler ! On fera hibernatus plus tard.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.

Il continue à avoir ce sourire béat en la regardant. Il est totalement tombé dans le piège de sa vengeance. Il est tombé à pieds joints dans les filets de la jolie brune. « Si je t’embrasse dans un cadre pareil, c’est que je reste pas insensible à ton charme… Je suppose qu’on est en couple alors.» Ca sonne, aussi bizarre que dans sa tête. Il n’est pas habitué aux histoires sérieuses ou à avoir le cœur qui bat à tout rompre. Il n’est pas encore habitué à voir une fille comme autre chose qu’un objet sexuel. Il sait juste qu’il ne voit pas Lola comme tel. « C’est pas moi qui pourrais rester éternellement sur la plage. » Il sourit amusé, avant de reprendre sa mine plus féminine,papillonnant encore des sourcils. « Moi j’ai juste froid. » Il rigole encore avant d’embrasser sur le front sa nouvelle copine. Non, ça sonne bizarre. C’est trop rapide pour dire qu’elle est à lui et que c’est sa petite amie.

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

Elle est bien, là, avec lui, elle le regarde, elle boit chaque parole qu'il lui murmure. Ils sont en couple, ou alors à deux, elle sourit doucement, elle le connait vraiment depuis quatre mois, peut-être que le mot est un peu trop fort pour eux deux. On est deux personnes prête à faire un bout de chemin ensemble ? C'est plus long à dire, mais ça colle mieux, non ? Non, elle n'est pas prête pour le mot, mais elle est prête pour faire partie de la vie du jeune homme. Elle le regarde faire la fille, encore, et elle rit de bon coeur, elle le regarder, et lui caresse la joue, en douceur. Mmh, ça te dis de bouger, et d'aller ailleurs ? Je connais un endroit où au moins, on sera protéger de la neige ! Elle n'attend pas sa réponse, et fonce prendre la couverture. Elle lui attrape la main, et les emmènent à une vieille maison abandonnée, ou plus tôt un chalet, elle étale la couverture, en faisant vite fait un feu, et se met près de lui, à regarder la neige tombée par la fenêtre.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.

« Oui, ça colle mieux. Et puis tant que je peux faire ça…» Il rapproche une nouvelle fois son visage du sien pour l’embrasser rapidement. Il sourit béatement. Le cœur battant encore la chamade à chacune des approches de Lola et de ses baisers. Il n’a pas le temps de réagir qu’il a déjà la main dans la sienne et qu’il la suit au pas. « Tu comptes toujours diriger comme ça ? Je suis pas sûr de vouloir encore longtemps faire un bout de chemin à deux...» Il rigole doucement en serrant plus fort sa main dans la sienne, de peur qu’elle prenne mal la plaisanterie. Bien qu'il n'allait pas la suivre ainsi éternellement. Il s’installe sur la couverture en la regardant se charger du feu. « J’ai droit à un vrai petit mec ! » Il sourit en la prenant dans ses bras lorsqu’elle s’installe à ses côté. « Et tu arrives à sortir le chocolat chaud de tes poches aussi ? » C’est tout ce qui manquait à ce nouveau paysage d’hiver pour que tout soit comme dans un rêve.

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

C'est con, le bonheur, quand il est mélangé à l'amour, on a quoi ? Deux idiots. Elle le lui parle d'un endroit tranquille qu'elle l'emmène assez vite, parce qu'elle aussi attrape froid, elle le mène doucement dans le chalet qu'elle connaissait, dans un plus piteux état que dans ses souvenirs, mais l'endroit convient. Il convient à tout les deux, elle sourit, elle met le feu pour ne pas avoir froid, puis le regarde, riant de sa réflexion. T'as vu ? Tout dans les muscles ! Je peux même te faire une maison en pain d'épice ou un palais en chocolat. Elle rigole doucement, et sourit doucement, en sentant ses bras autour d'elle. Je ne peux pas faire ça, et puis, si tu veux commander, fais-toi apparaître un chocolat chaud. Elle le regarde un moment, en souriant.

Hiver, 2 ans plus tôt en  Angleterre.

Il rigole en entendant sa remarque. C’est idiot l’amour mais ça ne fait pas de mal à Ezra de ne pas se prendre la tête pour une fois. Il profite simplement du moment. «  Et moi, je peux venir manger la maison ou le palais. De préférence avant qu’il pleuve, ce serait dommage de le voir s’écrouler aussi bêtement. » Il sourit amusé. Il imagine bien vivre dans une maison de sucrerie. Hansel et Gretel, des temps modernes, qui ont réussis à voler la maison de la sorcière.  Si on oublie le fait qu’il soit frères et sœurs, ça serait dégoutant. « Et je dis quoi si j’en commande un à quelqu’un ? Je crois pas que notre nouveau logement soit très connu, si on oublie les rats. »  Il rigole, en lui déposant un rapide baiser au creux du cou. «  Y reste le feu si j’ai froid. »  Il s’est mordu la lèvre pile au bon moment pour ne pas lui dire qu’il restait une autre manière de se réchauffer sinon. Elle allait penser qu’il ne l’avait embrasser que pour faire des galipettes dès qu’ils le pourraient.

Début d'hiver, deux ans plus tôt, Angleterre.

Ils profitent d'un moment qu'eux seuls pourront raconter plus tard, à leur petits enfants. Elle sourit doucement et lui parle d'un palais ou d'une maison un peu farfelu, elle l'écoute, en riant doucement. On la mangera à deux, non ? Tu ne comptes pas manger tout seul ? Elle rit doucement, elle parle un peu comme une enfant quand elle est heureuse, ou alors, elle l'est toujours, juste qu'Ezra lui permet d'être bien dans sa peau, blottie contre lui, en gardant un sourire enfantin. Pas besoin ! On peut aller en prendre un ! Le café d'hier, il est pas loin à pied ? Elle sourit quand elle sent son baiser dans son cou, elle dépose ses mains sur les siennes, et penche sa tête pour le regarder, en lui souriant doucement. Tout est parfait, hein ? Elle sourit, elle se retient dire jusqu'à quand ? Elle ferme les yeux, en lui caressant le dos de la main, en souriant.