Citation :

Aux dernières nouvelles, il y a quelqu’un dans ta vie
Est-ce une raison suffisante pour te dédier un poème ?
Finalement j’aurais préféré écrire un poème pour Bernie
Mais puisque c’est ainsi, jouons là bohème.
Bergen nous enverra ses bénédictions
Parce que j’ai fais de toi mon addiction
Au vingt-neuf du huitième mois, depuis bien trop longtemps
Il te suffit d’un regard pour suspendre le temps.

Subtil mélange de sang du nord et d’océan du sud
Il faudra plus qu’un océan pour séparer les cœurs
Du sommet des montages  aux profondeurs
Quand deux âmes battent sur la même amplitude
Nier n’est qu’un moyen de suspendre,
Peut être simplement pour repousser
Ce qui sera pourtant un moment tendre
De douceur et de volupté.

Ainsi que je te déclare ma flamme
Par quelques mots maladroits
Parce que tu tourmentes mon âme
Je te veux uniquement pour moi
Comme la neige qui fond en été
Sous le soleil de l’Australie
Mon corps sous tes baisers
En un instant s’envole au paradis.

Devrais-je te supplier dans ta langue natale ?
En norvégien et non en anglais
Pour toi et tes yeux bleus j’apprendrais
Pour que ma déclaration te soit fatale.
Succomberais-tu à une fille comme moi ?
Je ne tiendrais rigueur de ton aversion
Pour le surf, ma grande passion
Je n’abandonnerais sans perdre ma foi.

Cette fois Oslo, soyons honnêtes
Sois chou, ne fait pas l’alouette.
Je refuse que tu m’éconduise
Alors quoi que tu en dise
Mon appartement te reste ouvert
Et comme je ne suis pas en verre
Ni en sucre, cela va s’en dire
Je t’attendrais jusqu’à mourir.

Tu n’es pas sans savoir qu’en lingerie
Je suis une experte des plus fidèles.
Je te laisserais dévoiler mes dentelles.
Sous mes joues poudrées de riz
Et de tes mains expertes
Si je rougissais, m’en tiendrais tu rigueur ?
Pour quelques mois, pour quelques heures
La jalouse ne me rendra pas verte.

Maintenant mon petit Oslo,
Je t’imagine bien hurlant « yolo !
Faut qu’elle se calme la petite ! »
Et non, je n’ai pas une otite
Ni de la fièvre, pour le problème
C’était juste histoire d’écrire un poème
Parce que tu t’es inscrit après moi
Mon norvégien, c’est pour toi !


372 mots parce que je me suis éclatée !

Citation :

Des profondeurs des ténèbres,  
Jusqu'à la surface de l'univers,  
Ta lumière digne d'un réverbère,
Oui, étincellent Mael, tu éclaires.
Pas d'obstacles sur ton chemin,
Car tu es pareil à un requin.

Et de ta peau couleur chocolat,
Passons le temps tel des hirondelles !
Car tu vaux bien mieux que Madonna,
Ô délicieux et merveilleux Mael.
Volons ensemble à travers les cieux,
Et retrouvons nous tout deux jusqu'au pieux.

Ton corps digne d'un mannequin,
Tes vêtements à la pointe de la mode,
Et tes faits et gestes digne d'un pantin,
Oh beau Mael ! Ta beauté va droit aux antipodes.
Car tu es, sans aucun doute, une lumière,
Parmi les plus belles merveilles qu'offre la terre.

Il n'y a aucune raison pour ne pas avouer,
Mon beau et grand Mael que tu es le détendeur,
De la beauté et de la grace d'un bégé.
Et ne crois pas que ta chère soeur,
Possède une beauté égale à la tienne,
Car vous ne possédez peut-être pas le même ADN.

Et de tous les hommes de l'univers,
Tu es probablement le plus gracieux.  
Et de ton joli minois qui attire les pervers,
On peut bien évidemment dire qu'il est délicieux.
Et de la flamme qui brûle en moi jusqu'à toi,
Il n'y a plus qu'un visage sournoi.

Et j'ai même oublié mes souvenirs et ma peur,
Pour t'offrir la plus belle et la plus grandiose des choses.
Mael, je t'offre mon humble coeur.
Même s'il semble peuplé d'étranges morphoses,
Je t'en prie, accepte-le car il n'est que brisé.
Assez longtemps j'ai souffert, maintenant je cède.

Oui, tu m'as bien compris Mael.
Je cède à la plus belle des tentations qu'est l'amour.
Et je n'attend peut-être qu'une simple chandelle
Pour espérer nous unir un jour.

Mael, ô ne fais donc pas le cruel !
Pourquoi veux-tu fuir et courir,
Quand j'accepte de devenir ta Belle.
Mael, sois ma Bête et ensemble, allons fuir.
Je ne veux plus patienter jusqu'à l'été,
je ne veux plus d'un simple baiser.

J'ai peut-être le mérite d'être trop franche,
Mais crois-moi, je n'attendais plus que toi.
Pour enfin démarrer cette romanche.
Oui, j'ai un facheux problème avec la prononciation,
Ainsi donc je dis -che à la place des -s.
Mais cela ne m'empêche pas d'être une déesse.

Viens, Mael, cours jusqu'à moi !
Pour qu'ensemble nous puissions
Enfin débuter la merveilleuse création,
D'une belle et éternelle passion.

poème pour castiel

Doux mirages, douces images,
tel du cirage dans un virage
ton visage me fait perdre pieds,
et, Castiel, je ne peux que m'emporter.
La douceur de ta peau, sans cesse exagérée,
me rappelle, sans mentir, les fesses d'un gros bébé.

Je ne sais encore que dire, sur la couleur de tes yeux,
entre un putride et savant mélange boueux.
Oh oui, Castiel, je m'emporte !
Ton être tout entier, ta parole, la forme de ta bouche quand tu rotes,
Même tes fesses et tes dents décolorées,
tout, chez toi, ne cesses de me torturer.

Prends avec toi tes cheveux et ton teint blafard,
je préfère encore m'entretenir avec un cafard,
que de perdre encore un minute à parler de toi,
et pourtant, c'est encore ce que je vais faire, crois-moi.
Car malgré ta façon subtile de m'ignorer,
Castiel, mon ange adoré,
Je pense à toi nuit et jours, et je n'ai de cesses de pleurer
notre amour, bafoué avant même d'avoir commencé.

Alors oui, Castiel, moi, Mira, je te déteste !
Presque aussi fort que si tu aimais crier " I am the best ! ",
presque aussi fort que ces swageurs et ces yolos,
j'leur frapperai bien la tête contre un congélo.
Tu vois un peu, Castiel, à quel point tu me fais mal ?
Mais si, encore, tu n'écrasais pas en plus le coeur d'un pauvre animal !
Regarde Sam, ce pauvre élan,
et son frère, Dean, cette tête de gland !
Quand tu t'es pris pour Dieu, ça les as complètement ravagés,
mais bon, je dois avouer qu'en sauvant Dean, tu t'es un peu rattrapé...

Bref, je divagues, mais ma haine reste la même !
Entre nous, plus rien n'est possible, même si tu sais que je t'aime.
Garde néanmoins ces quelques mots en tête,
à moins que tu ne veuilles te frotter à la grosse bête.
Je garde espoir que tu m'entendes,
et que ces phrases, ton âme les appréhendent.
Je ne t'aime plus, Castiel, mon tendre amour,
j'espère que tu iras crever dans un tambour.



(comment ça a trop aucun sens omg ) (supernatural ftw, désolée, mais j'étais obligée !)

Pour seksay Aymeric N. Wexfords :white:411 mots  

Si je vous tiens ce langage bel Aymeric,
C’est probablement que j’ai un problème psychologique
Mais je me suis déjà lancée et ça risque d’être comique
Car je me glisse dans la peau d’un être poétique.

J’avoue, je suis horriblement abasourdi par votre beauté
Mais j’hésite fort pour vous inviter
Peut-être allez-vous refuser ?
Peu importe ! J’aurais essayé.

Le fait est que je meurs d’envie
D’aller avec vous mangez du riz
Car voyez vous j’adore ceci
Mais vous, seriez vous bien en ma compagnie ?

Je ferais tout pour vous mettre à l’aise
Et si vous n’aimez pas le riz, on mangera … des merguez !
Aimez-vous la sauce bolognaise ?
Moi si ! Par contre, j’ai horreur de la mayonnaise.

Pas de soucis si vous préférez les soirées coquettes
Je serais moins maigrelette dans ma belle chemisette
Mais si jamais vous cassez une assiette
Mon frère vous tuera avec une machette

Savez-vous que je suis de nature coquine ?
Imaginez vous et moi dans la cuisine
Dégustant les meilleurs aubergines
J’espère que vous n’avez pas de copine !

Je suis loin d’être une collégienne
Mais une GRANDE australienne !
Qui espère que son message à votre cœur parvienne
Et vous fasse oubliez que vous approchez la trentaine

Vous ai-je parlé de ma passion pour les petits pois ?
Les gens trouvent cela étrange parfois
Mais je me suis faite contaminée par un ami berlinois
Qui est évidement sans emploi …

N’en faites pas un scandale
Mais quand je vous vois mon cœur s’emballe
On pourrait aller faire du cheval
Ou bien parler d’histoires à deux balles ?

Si vous décidez d’anéantir
Ce dans quoi j’essais d’investir
Vous feriez mieux de déguerpir
Sinon vous risquez de mourir.

Mon écriture s’amuse au vagabondage
Ne vous inquiétez pas de ce qui peut sortir de ma bouche à mon âge
Mais mon cerveau à subit un ravage
Et je ne maîtrise plus mon langage

Est-ce vous qui me troublez mon beau ?
J’espère un jour être l’objectif de votre appareil photo
Mais dites-moi tout de suite si j’ai trop de défauts
Et je laisserais mes ambitions tombées à l’eau

Sur ces mots je me dépose
Il faut bien que mon esprit se repose
Et puis c’est l’heure de la pause
Je risque de choper une tuberculose.

N’oubliez pas ma proposition
Et libérez mon esprit de toutes ces suppositions
Dire oui est l’unique solution
Si vous ne voulez pas finir victime de graves malformations.