« Je vais lui faire passer l’envie de recommencer ! » Et voilà elle s'y croyait vraiment. Elle croyait vraiment être "superwoman". Le truc maintenant elle croyait qu'on avait découvert son secret par le net. Il se demandait de qui elle parlait. Ou comme il le pensait, il parlait bien entendu de "lui-même". Le copain était encore un inconnu aux yeux du beau brun. Il s’esclaffa de rire aussitôt, en voyant l'ampleur que prenait leur plaisanterie. Le délire dura un moment, avant qu'ils dérivèrent au métier "d'écrivain" qu'exercé l'aîné des wheeler. « Du coup, tu vas écrire ce qu’on est en train de vivre en ce moment ? T’as intérêt à rendre la scène super émouvante, limite les lecteurs sont obligés de sortir leurs mouchoirs quand ils la lisent ! » « ouais tu vas voir même qu'ils vont dévaliser le stock uniquement pour acheter des mouchoirs. » Genre qu'ils vont acheter le bouquin pour avoir envie de pleurer. Et ainsi dire d'acheter des mouchoirs. Comme pour leur rappeler. Il n'y avait qu'eux pour inviter des conneries pareilles. Il était vraiment irrécupérables. Lorsqu'elle réalisa qu'il devait sûrement en train de commencer son nouveau écrit. « Donc, tu étais en train d’écrire, tout à l’heure, c’est ça ? » « oui, je dois rendre celui-ci pour la semaine prochaine. » Il était certes à son compte. Cependant il était avec une boîte sérieuse, qu'il aidait beaucoup pour les éditeurs, et la mise à vente de ses produits. Il appréciait tout le monde, et de puis c'était un ami de leur paternel. Qui en lissant le bouquin sur son chevet qu'il avait écrit. La personne avait adoré, et lui a proposé de travailler comme "écrivain". « et toi que fais-tu dans la vie à part être superwoman ? »

« Du coup, le cours du marché du mouchoir va augmenter ! » Oui, il va augmenter à 3€ le paquet. Presque aussi cher qu'un paquet de clope. Voyez le progrès. Il nous tuera tous. Et il nous ruinera tous. Comme si un fumeur allait arrêter, en voyant le prix augmenter. C'est n'importe quoi ! Il fumera moins, mais il consommera toujours autant. Et c'est pareil pour les mouchoirs. Ils vont en avoir besoin pour le tome, et également quand ils seront malades. Ils allaient devenir milliardaires. « Je vais investir dedans, ça me fera de l’argent facilement gagner ! Et encore plus si ton livre est adapté en film ! Je vais devenir riche grâce à toi ! Je savais que tu me serais utile un jour ! » « trois euro le paquet de mouchoir. tu peux pleurer sur commande ? peut-être que ça marcherait là. tu veux dire qu'ON va devenir milliardaire. l’auteur gagnera plus que celui qui le mettra en scène. et je te permets pas. » Il se mit à bouder. Comme d'habitude, quand il avait un truc qui le déplaisait. Ou pour emmerder quelqu'un. Comme là en ce moment, pour voir comment va réagir sa benjamine. Elle pourrait ignorer complétement. Ou lui faire un ÉNORME câlin. Cela dépends de l'envie de la rouquine. Ils repartirent sur un thème beaucoup plus sérieux. Non, pas le montant qu'il aurait en vendant des mouchoirs. Mais leur profession qui d'un côté était ce qu'il avait toujours aimer de faire "écrire des romans". Il en était fuir et ça lui permettait de tout mettre sur papier. « Pas trop dur, les délais à respecter ?» « non ça va je suis toujours dans les temps, sinon c'est un ami de notre père donc il reste très compréhensif. » Il lui devait beaucoup. Il n'aurait peut-être pas percer dans le métier. Ou du moins gagner autant. Car sans l'entreprise, il aurait eu sans doute un euro par bouquin, et là vu que c'est tout une "agence". Il gagne environ 2000€ parce que la boîte n'a pas que les bouquins, et à plusieurs emplois dans différents domaines. La paie est donc plus variable, et plus intéressante. « Ho, tu sais, être une héroïne prend beaucoup de temps ! Mais comme j’ai trop la classe, j’arrive aussi à être architecte en même temps ! Tu te souviens : je voulais créer la maison parfaite pour mes poupées ? Bah, ça m’est resté comme envie !» Il se mit à rigoler. Qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre ! Lorsqu'elle entama le second métier, ou même son principal : architecte. « tu m'étonnes. bien sûr que je m'en souviens. tu disais vouloir la maison parfaite pour barbie et ken. ben comme ça si un jour tu les rencontres, tu pourras leur faire leur maison. mais c'est un très beau métier ! »

« Hey, ton livre va se lire dans le monde entier. Tu vas donc faire pleurer l’humanité entière ! T’imagines ce que ça vaut, en paquet de mouchoirs ? » Elle allait pouvoir se faire de l'argent sur son dos. Elle va même devenir plus riche que crésus. Quel rêve quand même. Tout le monde voudrait être blindé d'or. Et ne pas se lever le matin. Ils allaient pouvoir réaliser le rêve de tout le MONDE. Le millionnaire. Le jeu qui les conviendrai le mieux. Il se mit à rigoler avant de lui répondre : « ON VA DEVENIR MILLIONNAIRE !! » Il s'écriait comme un con. Tout le monde aurait pu entendre. Ils vont vouloir partager leur amitié. Oh désolé mais ça n'arrivera pas maintenant. Ce n'était qu'un délire. Il se mit à bouder ensuite quand roxanne rapporta qu'il ne servait à rien d'autre. Il avait mal pris apparemment. Et sa sœur avait pris autrement : « Et je n’ai pas dis que j’allais être plus riche que toi ! En plus, toi, tu auras de l’argent sur le livre, et sur le film ! Alors arrête de râler : moi, ça sera que sur les mouchoirs ! Les mouchoirs quoi ! » Là elle n'avait pas tord. Mais ce n'était pas de là le problème. Et lui le savait parfaitement. Il avait cru qu'il ne servait à rien donc ça lui donnait envie de bouder. Elle allait devenir plus riche que lui. Uniquement sur les mouchoirs. Les mouchoir quoi ! Il répète alors ce qui lui déplaisait : « certes, certes, je ne dis pas le contraire. mais je sers à rien ? moi ton frère sert à rien. » Il emmerdait. Il ne l'avait pas pris au sérieux. Et quand il boude ce n'est jamais pour longtemps. La preuve quand ils se sont mis à parler de travail. Il parlait maintenant de son métier, et également des délais de rendu des bouquins. C'était un ami qui l'aidait beaucoup. Il n'avait eu aucun problème. Et ne rendait pas en retard. Et souvent en avance plutôt. Elle le questionna : « Oh, c’est cool ça ! C’est quelqu’un que je connais ? » « tu as du le voir deux ou trois fois pendant notre enfance. il venait souvent avec papa. même tu sais il a dit que je tenais de maman physiquement, tu trouves ? » Il s'était toujours qu'un homme ressemble au paternel. Et que la femme à la maman. Alors peut-être que c'était tout autrement. Ou il voyait son parent dans tout le monde. Il aurait pu dire ça également à la benjamine également. Le sujet tomba sur le travail de sa sœur à part héroïne. Elle était architecte. Un beau travail. Il était donc fier de sa sœur qui avait réussi. Tout comme lui également. Et apparemment ken et barbie existait. La preuve c'est qu'elle le disait à Isaac : « J’ai déjà rencontré quelques couples qui ressemblaient à Barbie et Ken, tu sais ! C’était moins drôle que je ne l’aurai pensé de leur faire une maison !» « le monde des affaires est dur. mais tu arriveras à faire la maison de poupée de barbie, si elle ne s'est pas déjà barrer avec un autre mec. parce que ken il est moche. » Et ils terminent sur les relations sentimentales. Osera-t-il en parler à sa soeur ? Il est amoureux depuis un moment. Et de sa meilleur amie. Il écouta sa dernière déclaration : « Je pourrai peut-être construire la tienne un jour ! Quand t’auras une famille ! » « si j'arrive à lui dire peut-être. mais c'est gentil de le proposer. »

« Ouais, c’est ça, tu sers à rien ! La seule utilité que tu aies, c’est... De faire des câlins ! » Elle lui fit un câlin comme pour démontrer son utilité. Bon déjà c'était une bonne chose. Du moins si on peut le voir de ce point de vue. Cependant il servait à beaucoup de chose, c'était un écrivain, et un bon colocataire apparemment. Elle ne pouvait pas en juger vu qu'elle n'était pas là. Il lui pardonna donc, en écoutant la suite de son innombrable dialogue : « C’est déjà pas mal comme utilité, tu vois ! » « oui tu as raison, mais tu as oublié un bon écrivain, et colocataire. » Le sujet tourna à celui de l'ami de leur parent. Il disait qu'il ressemblait beaucoup à sa maman. Cela dit il ne trouvait que seulement quelques détails. Ou le disait-il à tout le monde ? Il demanda à sa sœur ce qu'elle en pensait, et voilà ce qu'elle lui répondit : « Ah, ça me dit vaguement quelque chose, en effet. Et pour maman... Dans mes souvenirs, vous vous ressemblez surtout au niveau de la forme du visage et de la couleur des cheveux ! » « tu trouves également. j'ai du mal à voir ces détails pourtant. » Il s'était toujours qu'un homme ressemble au paternel. Et que la femme à la maman. Alors peut-être que c'était tout autrement. Ou il voyait son parent dans tout le monde. Il aurait pu dire ça également à la benjamine également. Le sujet tomba sur le travail de sa sœur à part héroïne. Elle était architecte. Un beau travail. Il était donc fier de sa sœur qui avait réussi. Tout comme lui également. Et apparemment ken et barbie existait. La preuve c'est qu'elle le disait à Isaac : « J’ai déjà rencontré quelques couples qui ressemblaient à Barbie et Ken, tu sais ! C’était moins drôle que je ne l’aurai pensé de leur faire une maison !» « le monde des affaires est dur. mais tu arriveras à faire la maison de poupée de barbie, si elle ne s'est pas déjà barrer avec un autre mec. parce que ken il est moche. » Il était un fin observateur. cependant il avait beaucoup de mal de comparer. Alors il ne portait aucun jugement hâtif. Il fit une moue pour réfléchir un long moment, avant d'en arriver à barbie et ken. Qui était le prochain challenge de sa benjamine. Cependant si il ou elle rompt. Cela ne sera pas facile. « Faut surtout dire que Barbie et Ken sont aussi idiots l’un que l’autre ! » « ouais tu as parfaitement raison » Après tout c'était bien des stéréotypes. La blonde stupide et qui s'intéresse beaucoup aux physiques, et au shopping. Et l'homme narcissique, qui se recoiffe toutes les dix minutes comme un pd non? oh sans oublier la voix de tarlouze, et ses vêtements courts. Il ne va pas aller bien loin comme ça. « Et ça serait une bonne chose que Barbie aille voir ailleurs ! Ou pas : Ken voudrait se trouver une autre petite amie ! » « en même je me demande qui voudrait d'eux. un mec qui ne s'intéresse qu'à sa coiffure, et une blonde stupide qui s'intéresse uniquement aux vêtements. » Ça ne sera pas lui qui ira vers eux. Il préfère les gens naturels, et sur qui il peut compter. Le genre de pouf et de mec qui s'intéresse qu'à draguer et à sa coiffure c'est loin de l'intéresser. Ou il faudrait vraiment qu'il est un truc particulier. Oh d'ailleurs, ils parlèrent de relation amoureuse. Quand elle vint lui dire qu'elle construira la maison pour sa famille. Il avait osé lui dire qu'il n'avait pas pu lui dire ses sentiments. C'était un vrai challenge pour lui ! « Ah, t’inquiète, tu arriveras à lui dire ! Et qui est l’élue ? » « je t'en ai déjà parler c'est elwyn. ma meilleure amie. peut-être que si je lui remet mes bouquins, elle comprendra. et ça me gênera moins vu que je serais déjà parti très très loin. »

« Hey, je vais pas te faire la liste des utilités que tu peux avoir, tu vas choper la grosse tête ! » « à ce point ?! » Il avait autant de qualité que ça. C'est certain il allait avoir la grosse tête. Il va même pouvoir s'en vanter devant son amoureuse. Quoiqu'il va se prendre un coup pour être un imbécile. Les sujets défilèrent rapidement, et parlèrent de barbie et ken. qu'est-ce qu'ils peuvent être supérieur. La blonde stupide, et l'homme narcissique, tout deux s'intéressent aux physiques. Rien de très ordinaire pour deux superficiels. « Je pense que seuls des crétins peuvent s’intéresser à l’un d’eux ! » Oui, il était du même avis. Que les crétins peuvent s'intéresser. Et ça ne changera jamais. Les parfaits stéréotypes. Elle rajouta par la suite « Ou des gens autant sans intérêt, du moins... Ce qui est con : t’imagines leurs gamins ! » « le portrait de leur parents, ça fait peur. » Ça serait l’apocalypse. Le monde deviendrait des copies d'humain. Et l'originalité ne ferait plus partie de ce monde. Il n'y aurait plus de gens désuet comme lui. Il devrait être blond, et s'intéresser à son physique uniquement. Quel horreur. Bref pour ne pas faire de cauchemar. La benjamine entama les relations amoureuses. Quand il se mit à parler indirectement de Elwyn. Il ne s'était pas déclarer. Oh il pensait le faire, mais en donnant les bouquins. Le message était très clair. Il faudrait qu'il soit à des centaines de kilomètres : « Ah, bonne idée ! C’est une manière originale de se déclarer ! Tu me tiendras au courant, hein, je veux tout savoir moi !» « tu penses ? je lui donnerai alors. et quand je serais à des mètres d'elle. » Il ne voulait pas être déçu. Alors autant partir. Et mettre les bouquins à la boite au lettres seulement. Il n'aura la réponse quand elle aura lu. Sinon il serait rouge comme une tomate. Et il ne ressemblera à rien du tout. « Et fais-le prochainement, comme ça, je pourrais la rencontrer en tant que ma belle-sœur ! » « tu penses déjà à ça. arrête ça me stresse déjà rien que d'y penser. »

« On va tout faire pour éviter que ça ne se produise ! Je propose qu’on se serve de notre argent durement gagné, par les livres pour toi, et les mouchoirs pour moi, pour sauver l’humanité ! » Oui, ils sauveront l'humanité, en faisant don de leur argent. Et tuerons toutes les personnes ressemblant à des "copies". Le monde sera sauver grâce à leur argent. Et lui qui rêvait de se payer le monde, pour avoir tout ce qu'il voulait. Ca sera pour la prochaine fois sûrement. « moi qui voulait devenir président, c'est dommage. non je rigole. allons sauvons le MONDE !!! » Le voilà partie dans leur délire, avant de retomber sur un sujet plus sérieux. L'amour. Il n'y a rien de mieux pour les calmer. Et surtout si elle insistait pour son idée des bouquins. Mais ou va le monde. Elle dira jamais non à aucune de ses idées. Et même si elles sont stupides. . « De toute façon, il faudra le temps qu’elle lise tes livres et comprenne, donc... Il va falloir t’armer de patience ! » Oui, sauf si elle croit que la lettre est destinée à quelqu'un d'autre. Et qu'elle se rend jalouse pour elle-même ce qui serait vraiment bête, faut avouer. « lmais si elle comprends pas et qu'elle se met à être jalouse de "evey" » Il commençait à paniquer, en se disant qu'après tout il ne citait pas réellement son nom. Il n'oserait pas les publier sinon. Il se mit à soupirer, en voulant se taper la tête contre un mur. « Ne t’inquiète pas, ça ira bien ! Il faut que tu aies confiance en toi, voilà tout !» « c'est pas facile surtout avec une femme comme elwyn qui a un sacré caractère. » Cependant c'est ce qui faisait son charme. Car il ne la connaissait que comme ça. Et quand elle est normal, si il prend en note qu'elle est un monstre à l'engueuler tout le temps. Il voulait simplement rendre service après tout. Elle n'était pas un monstre. Seulement ils se disputaient souvent. « Il faut qu’elle t’apprécies grandement pour avoir le courage de te supporter depuis tout ce temps, donc... Ca doit bien signifier quelque chose, non ? » « ouais je te le fais pas dire. je lui dirai comment elle fait pour m'aimer, si elle a des sentiments pour moi. tu me feras rappeler. oh tu crois? alors j'espère que tu as raison » IL sourit grand comme pas possible. Il espérait qu'elle est raison. Ca serait bien pour lui. Et aurait plus confiance en lui, e également à ses sentiments.

« Ah, ça, c’est bien possible.... Mais tu as bien dû te débrouiller pour qu’elle puisse comprendre que tu parlais d’elle. Je sais pas moi, par quelques allusions que tu as pu y glisser, non ? » on parle de isaac là. il a voulu que sa vie soit cachée. et que personne ne soit au courant que c'est son avenir comme son passé qu'il est en train d'écrire. il a mis quelques éléments, comme leur rencontre, le pseudo de la femme presque identique. mise à part ça rien d'autre, mais elle était intelligente. ou du moins il espérait qu'elle le serait pour le coup. « euh.. on va dire notre rencontre, et le pseudo de la femme. sinon rien d'autre qui ne lui claque aux yeux, non! si elle comprend de travers, elle va soit me taper, soit me féliciter pour le coup. » euh oui la féliciter de quoi en particulier ? de l'aimer sans qu'elle s'en rende compte. oui y a fort possible que ça soit comme ça. quel idée de ne rien préciser ou de mettre une dédicacée qui lui serait destinée, en quelques mots. non ça ne lui a pas vraiment frappé l'esprit, maintenant il doit se demmerder. « J’ai hâte de savoir le fin mot de l’histoire, en tout cas ! » Il n'avait pas hâte de savoir le fameux de l'histoire. mais alors vraiment pas. ou du moins il a hâte de se casser loin à ce moment là. il évitera le rejet ou les moqueries même si ce n'est pas son genre. et peut-être qu'elle comprendra, ou qu'elle aimera. le dernier choix lui ferait sauter de joie au plafond. il s'imaginait déjà tout ça dans sa tête, quel beau rêveur! en tout il ne resterait pas à ses côtés, vu qu'elle aimerait déjà voir pour comprendre tout maintenant « pas vraiment. j'ai hâte de partir à dix milles lieux sous terre à ce moment précis de ma vie. » elle attrapa par le bras, en lui faisant un clin d'oeil. il avait un mauvais présentement. comme quand elle veut se mêler de ses affaires. lorsqu'il voudra lui présenter sa meilleure amie et son amoureuse en même temps. elle va lui arranger le coup s'il faut? non elle n'oserait quand même pas. « J’espère que l’un de nous aura de la chance dans sa vie amoureuse, au moins !» oh ça voulait dire qu'elle avait quelqu'un. oui ca lui revient elle était avec quelqu'un, ou du moins elle avait un meilleur ami qu'elle aimait ou un truc du genre. il va la charrier à son tour. après tout qui chatie bien aime bien non? « j'en suis sûr que réussira à avoir une belle vie avec ton william non? puis moi je m'en remettrai si par malheur elle me rejette. et il est préférable que tu la rencontres pas encore. » il se met à marcher en souriant. il savait les risques de lui présenter, et il ne voulait surtout rien précipiter dans tous les cas.