Je déteste ça et tu l'sait // feat Charly

Je déteste ça et tu l'sait

« le va, le vient, le demain... »

Charly A. Veperi ▲ Conrad Dlack

J'me passe une main dans les cheveux, ils sont trempés, mais j'men fiche. C'est la première fois que je me rends sur un tatami, c'est une manière différente de se battre, un peu trop calme pour moi, je dois l'avouer, mais ça a le mérite de me calmer. C'est quand même un peu frustrant de faire semblant, de retenir ses coups alors que je voudrais m'éclater les bras, transformer ma douleur psychologique en une plus brutale, plus pure, une douleur physique.

Mes yeux ce son posé sur un nom alors que je m'appuie sur le mur, devant la porte d'entrée.
" Charly A. Veperi "
J'hésite à sonner. Ce qui c'est passé hier me frustre au plus haut point. Elle a raison et tord. J'ai moi aussi raison, mais j'ai aussi mes torts. Et ma putain d'orgueil de merde qui me fait hésiter. Je sonne ou je ne sonne pas ? Bordel ce que ça me soul. Je grogne de frustration. Je ne peux pas laisser les choses comme ça. J'ai... Besoin d'elle ? Ouais, c'est possible.
Je souffle en serrans les dents et écrase mon doigt sur le bouton de la sonnette en priant pour qu'elle ne soit pas là ou qu'elle me claque la porte au nez. Je prie pour qu'elle ne me face pas son petit sourire de femme fragile.
J'entends du bruit derrière la porte, je me rapproche de celle-ci et me lance.

« Charly, ouvre, c'est moi... »

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Tu crois que j'vais laissé passer ?

La nuit dernière avait juste était horrible. J'en revenais pas de se qu'il s'était passé. A vrai dire j'en avais réellement marre d'avoir autant peur et de me mettre dans des états pareil. Tout ce que je sais c'est qu'aujourd'hui j'étais vraiment dans le mal. Entre ma viré dans l'eau et voir son frère en ville c'est pas la joie. Je passais donc ma journée chez moi à fumer et à boire mes bières. J'avais l'impression d'être en dépression ça craint réellement. Pour mon frère je savais même pas si c'était réellement lui j'avais cru apercevoir sa tête. Donc je éraie dans mon appartement avec mon vieux sweat. Posé sur le canapé bière à la main, je venais de me rappelé que j'étais censé travailler aujourd'hui. Tant pis j'bosserais un autre jour. Sur ma table basse trôné assez de weed pour plusieurs semaines et ça faisait un bon paquet. Si quelqu'un rentre sur qu'on allait me prendre pour une droguée.

J'entendis la sonnerie retentir, me levant d'un pas endormis, j'allais vers la porte avant de regarder par le petit trou qui s'était. Conrad. Mon regard s'assombrit avant de l'entendre parler. Ouvrir ou ne pas ouvrir ? Je soupirais un long moment avant de tourner la clé dans la serrure et d'ouvrir la porte. Je le regardais de haut en bas avec un regard endormis -trop fumée pensez vous- et blasé "Qu'es que tu veux ?" . Sur ces quelques mots je repartais vers mon canapé pour l'invité à rentrer.

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« le va, le vient, le demain... »

Charly A. Veperi ▲ Conrad Dlack

La porte s'ouvre enfin... Sur une Charly complètement débraillée. Elle me regarde à peine en marmonnent un truc stupide. Quoi ? Bah, je suis venue prendre le thé tient ! Ça crève les yeux nan ?!
Je laisse ma main se raffermir contre le mur et je prends quelques secondes avant d'entrer. Je souffle une seconde fois et passe la porte.

« Ecoute, je ne.... »

Houa ! Ce bordel ! Elle est sérieuse là ? Je lui coule un regard surpris ou horrifié, c'est comme vous voulez. Je la fixe un moment. Elle fout quoi là ? Quesqu'y lui arrive ?
J'ai envie de la secouer. Ça me tue de la voir comme ça, c'est pas saint. Et toute cette dope sur sa table. Comment j'ai pus rater ça moi ? Je sens mes dents grincer.

« T'es sérieuse là ? T'a vus ce foutoir sérieux ? »

J'me passe une main dans les cheveux en balayant la salle du regard.

« P'tain... Charly... T'abuse là »

Je sentis ma voix se briser. J'avais envie de la jeter sous la douche et la forcer à ranger tout ça.

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Tu crois que j'vais laissé passer ?

Enfin assis de nouveau sur mon canapé, je ne regarde même pas Conrad, non j'préfére ignorer sa présence je l'écoute c'es tout pas besoin de plus. Il commence un phrase sans la venir. Haussant un sourcil, je finis de rouler mon joint Puis il continu à parler. Mes sourcils se fronça, monsieur vient tranquillement me voir chez moi après m'avoir fait flipper hier soir et il ose dire que c'est crade chez moi. Il manque pas d'air celui là ! Je tournais la tête vers lui j'avais surement plus une gueule défoncé que énervé " T'es venus chez moi juste pour dire de ranger mon appart' ? Si c'est ça t'inquiète je range j'passe même l'aspiro' ! Donc tu peux repartir." Bordel a peine arrivé il me prenait la tête avec des trucs de merde.

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« le va, le vient, le demain... »

Charly A. Veperi ▲ Conrad Dlack

Je la fixe, bordel, j'ai envie de la secouer, de lui hurler dessus, mais j'me retiens. Je veux d'abord comprendre. Ensuite, je lui secourais certainement les puces.
Mes yeux se posent sur sa dope et se détournent. Franchement, je ne comprends pas ce qui se passe. Elle fait n'importe quoi ! Elle a du bol de ne pas être née comme moi, elle se serrait brisé en quelques années. Elle semble déjà si fragile.
J'me vautre sur son canapé à côté d'elle, ignorant ça remarque acide.

« Quesqu'y ne va pas ? T'es pas normale. J'le sent pas tout ça. »

Dis-je en l'enveloppant d'un geste large.

« Regarde toi, on dirais un chaton abandonné. »

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Tu crois que j'vais laissé passer ?

J'avais le regard fatigué, j'vais juste envie d'être seule, de me reposer, de fumer, de boire mes bières tranquillement et seule. Mes pupilles se tournèrent lentement vers Conrad lorsque je sentis le canapé s’affaissait sous son poids. J'allumais d'un geste lent et automatique mon joint avant de tirer une bonne latte et d'en expirer la fumé. Je l'écoutais parler, sans y prêtais vraiment attention. Après le coup qu'il m'avait fait je voulais rien reçevoir de lui il n'aura qu'à attendre que j'oublie si on peut dire. J'allais pas bien ? Non sans blague il l'avait remarqué tout seul ? Il m'avait fait complètement flippé la nuit dernière et il veut que j'péte la forme et que j'fasse comme si rien ne c'était passé ? En plus de ça j'ai crus voir mon frère ! Soit j'devenais complètement parano' ou alors j'étais encore plus barge.
"Un chaton... t'as a pas trouvé mieux ? J'vais bien et cherche pas à comprendre."

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« le va, le vient, le demain... »

Charly A. Veperi ▲ Conrad Dlack

Ma mâchoire se crispe. Elle m'en veut toujours pour hier, j'le sais, j'le vois dans ses foutus yeux qui hurle le reproche. Mais je sais aussi que ce n'est qu'un prétexte merdique qu'elle a trouvé pour me bloquer. C'est clair, c'est bien plus facile de s'enfermer dans sa merde et de bloquer tout avancé. Le courage, ça fait peur et mal. Je soupire.

« Ecoute je suis désolé pour hier, comment tu voulais que j'le sache ? Si tu parlais un peut plus, j’aurais eu une chance d’être au courant nan ?? »

Je la lorgne d'un regard moqueur.

« Et tu te trompe, je trouve que, vus t'a réaction d'hier, "Chaton" est en faite très approprié. »

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Tu crois que j'vais laissé passer ?

Je regardais un tableau qui se trouver droit devant moi en fumant tranquillement écoutant d'une oreille Conrad, j'étais fatigué j'avais envie de me retrouver seule pendant quelques jours. Oublier cette panique que j'ai eu. Je savais très bien que si je voyais la plage j'y repenserais et sachant qu'ici on ne peut pas louper la plage ce n'était pas gagné. Puis mes sourcils se fronça en l'entendant. Comment ça pas prévenu ? C'est qui qui gueuler de pas me foutre à l'eau ? Et à ce que je sache Lip' lui avait dit. Non, il n'avait pas d'excuse. Je repris doucement mon calme, j'avais pas envie de m'énerver ou alors c'était parce que j'avais peur de rester en froid plus longtemps avec lui et que je le perde. Inconsciemment peut-être. Je lui posa donc une question en expirant la fumé emprisonné dans mes poumons :" Pourquoi tu reporte la faute sur moi ?" Je restais donc bloqué sur ces première paroles car, je n'avais aucune envie de rire aujourd'hui.

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« le va, le vient, le demain... »

Charly A. Veperi ▲ Conrad Dlack

Je m'affale encore plus sur le canapé en posant ma tête sur le dossier. Je fixe un instant le plafond avant de soupirer.
Ce que les filles peuvent être chiantes avec leurs rancunes. Je l'avais presque oublié. Bien sur, il est hors de question que je lui lèche les pieds, je me trouve déjà incroyablement sympa avec elle. J'hésite entre me casser sans un mot, ou insister encore un peu.

« Charly... sérieusement. D'où te vient cette phobie ? »

Mouais, parfois, je ne me reconnais plus. Il y a moins de 6 mois, je serrais partie en claquant la porte sans lui accorder le moindre regard. M'enfin non, je ne serrais même pas venus. Il fallait vraiment que je me reprenne. Ce foutus pays m'avais rendu tendre comme un agneau.

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Tu crois que j'vais laissé passer ?

Je fixais à nouveau ce tableau avant de prendre une gorgée de bière. La question qu'il posa me déstabiliser. A vrai dire je n'ai jamais su vraiment pourquoi. C'est vrai étant gamine j'adorais aller dans l'eau avec mon seau, ma pelle et mon frère. J'haussais alors simplement les épaules en reprenant une gorgé de bière avant de tourner la tête vers Conrad et enfin le regarder dans les yeux. "Hum... J'en sais rien... J'ai juste peur de me retrouver seule dans une étendu d'eau et ne rien pouvoir faire pour me sauver. J'crois que c'est le fait d'être impuissante face à l'océan. Les gens comprennent pas que c'est dangereux et que l'océan peut t'emporter quand il le souhaite. Et ça me fait flipper. D'un moment à l'autre ta vie peut être terminé à cause d'une simple vague. Puis tu te retrouve à crever seule et ensuite on ne retrouve plus ton corps comme si tu n'avais rien était sur cette terre. C'est triste à dire. Ma psy' disait que c'était à cause de mon frère que je flippais." Je me racla la gorge. J'en disais trop j'allais me sentir vulnérable ensuite et il allait vouloir savoir depuis quand j'ai un frère. Je me rabattus donc sur ma bière avant de conclure :" Si mon putain de frère était encore là j'serais peut-être en train de me baigner. Qu'elle connard celui là."

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Charly A. Veperi ▲ Conrad Dlack

Mes yeux se perdent dans le vide alors que j'hoche distraitement la tête. Je comprends mieux son comportement. M'enfin, techniquement, je ne comprends pas trop. Je crois que je suis trop différent. Elle est finalement plus fragile que je ne le pensais. Je ne sais pas si elle a conscience de nos différences. Je ne lui ai jamais vraiment parlé de moi, de mon histoire, de mon passé, je n'suis pas comme ça, mais pour cette fois-ci, je pense que ça pourrait peut-être l'aider.

« Regarde. »

Dis-je en soulevant mon T-shirt jusqu'aux milieux du ventre. Dévoilant une marque cuisante de mon passé. Au niveau de la ceinture, il est là, écrit en lettre noir, marqué à jamais. Guerrero.

« Ca veut dire guerrier. C'est le nom d'un des plus grand gang mexicain. Un des plus violent aussi. »

Je soupire en cherchant son regard.

« J'ai intégré leurs rang à 18 ans quant mon frère est partie vivre en Australie. C'était un acte de désespoir, de peur et de rage. Je ne supportais pas de voir mes parents crever de fin et de misère et de savoir mon frères loin de tout ça. J'me suis sentie... abandonné, trahis. Je n'est pas réfléchis et j'ai agis, pour me soulager. Sauf que j'ai vraiment fait n'importe quoi. Et regarde moi maintenant, tu crois que ça m'a aidé ? J'ai fait des choses d'ont tu n'a même pas idée et ça me suivra toute ma vie. Toute ma vie ce foutus tatouage et ma mémoire me rappellerons, que finalement, je n'est été qu'un lâche, un sans cervelle. Et toute ma vie je continuerais de me retourner au moindre bruit. »

Ça fait mal, très mal. Mettre des mots sur des sentiments leurs donne une puissance... destructrice.

« Tu mérite mieux que tout ça. »

Dis-je en pointant d'un geste de la tête sa bière et sa dope.

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Tu crois que j'vais laissé passer ?

https://www.youtube.com/watch?v=ec8-olm8q3s&index=1&list=RDec8-olm8q3s

Buvant une gorgée de bière, j'observais les réaction de Conrad. J'avais pas envie qu'il soit trop attentionné avec moi, j'voulais pas qu'on partage nos erreurs du passé car, à vrai dire j'préfére me confier dans un autre état comme ça le lendemain on s'en souvient plus. Puis il ouvrit de nouveau la bouche me disant d'observer, je suivais donc ses mains des yeux jusqu'à découvrir un tatouage. Lisant sans bien comprendre, je ne voyais pas où il voulait en venir. Puis j'écoutais, j'écoutais son histoire, ce qu'il était. Il ne m'avait jamais rien confié et à vrai dire j'aimais pas qu'on me confit des choses. Non pas parce que je sais pas garder ma langue au contraire mais, lorsqu'on se confit à quelqu'un c'est qu'on tient à elle et je n'ai aucune envie qu'on tienne à moi. Peu de personne me connaisse réellement alors comment ils peuvent s'attacher à une personne qui se cache derrière un personnage. Conrad me voyais réellement aujourd'hui. Non, je n'étais pas fragile, j'étais juste perdu. Tout ça à cause d'un événement de merde. C'est pour ça aussi que j'aimais pas qu'on vienne chez moi, parce que chez moi j'étais réellement moi et plus cette fille pleine de vie. Et durant le discours de Conrad, j’apprenais son passé, un passé lourd que j'aurais préférer ne jamais savoir. Puis il me désigna ma bouteille et mon joint. Je fronça a nouveau les sourcils. J'avais pas envie de m'énerver ou de le blesser après ce qu'il venait de me dire mais, il faisait tout pour à croire que j'étais devenu une drogué et une alcoolique. "Ecoute... J'ai pas besoin de savoir ton passé. On fait tous des erreurs et perso' je m'en fou de se que tu as était après tout tu n'es plus pareil maintenant et c'est ce qui m'importe. Et puis..." Je ne savais pas trop quoi dire en vrai je balancais des phrases ainsi espérant que mes mots ne blessent pas. J'aurais voulu ignorer ce qu'il avait dit mais, je pense que ça aurait était pire je tournais alors les yeux vers ma bière avant de coincer le joint enter mes lèvres "Quand à ça, c'est mon problème et t'as pas à t’inquiéter. Y'en a qu'un qui pourra me faire changer d'avis et ce n'es pas toi. Désolé mais, c'est comme ça." Je savais très bien qu'une personne pouvait avoir une autorité réel sur moi car, il trouverait les bon mots, des mots violant mais, qui me ferait réagir. Rien ne sert de belle parole.

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« le va, le vient, le demain... »

Charly A. Veperi ▲ Conrad Dlack

Ok, j'ai compris, elle est carrément bien dans sa merde en faite. Je lui tends la main et c'est tout juste si elle me demande pas d'aller me faire foutre ! Elle me fait comprendre que je ne peux rien pour elle, que je dois donc supporter ses caprices de fille malheureuse en mal de vivre. Que je dois la laisser et la regarder ce shooter à longueur de journée. Que je dois faire tout ça, tout en fermant ma gueule ?! Elle est vraiment sérieuse ?! Elle m'a pris pour son clep's ou quoi ?!!
Bah merde qu'elle y reste dans sa merde ! C'est pas mon problème après tout. J'en ai marre d'me faire chier, je n'ai pas besoin de ça. À mon tour d'être égoïste.

Je la regarde avec dédain. Ouai, je crois que je suis déçu, un tel apitoiement sur son sort me déglingue. Putain j'peut pas !

« Bah t'sait quoi ? Démerde toi dans ce cas ! Reste dans ton petit monde de fifille malheureuse. J'me casse ! »

Je me lève et me rue avec rage sur la porte, juste avant de la claquer, je me retourne pour la toiser.

« Juste un détails, hier tu ne risquais rien, tu pige ? Faudrait arrêter de chouiner et ouvrir les yeux bordel ! Moi j'peut pas Charly, il est hors de question que j'te lèche le cul, à toi de te comporter en adulte, moi je t'es déjà trop donné ! »

BAN. La porte est fermée, bien fermée et moi avec.

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Tu crois que j'vais laissé passer ?

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La première phrase m'énerva, comment il peut faire pour ne pas comprendre ? Il est complètement borné et exagère tous ! Puis il commença a se barrer et je ne bougeais pas il en était hors de question. Oui, j'avais pas envie de le perdre mais, bordel il était trop têtu ! Puis je plissais des yeux en entendant la porte se claquer. Comme si la porte avait fait quelque chose de mal pour se faire claquer. Non, j'allais pas aller le voir, il croyait que c'était surhumain se qu'il venait de faire ? Dès qu'il me voit il vient m'engueuler et bien très bien qu'il reste borné aucun soucie ! Sincèrement j'avais envie de l'avoir en face de moi et de lui éclater la tête contre le mur pour qu'il se réveille un peu. Fallait vraiment mais, VRAIMENT qu'il se réveille qu'il arrête de tout voir mal. Soupirant je me dis que la prochaine fois j'irais le voir... M'ouais j'ferais ça j'suis bien obligé de toute manière. Faut que lui foute les pendules à l'heure qu'il revienne sur terre. Le problème c'est que là j'pouvais rien faire il aurait continué à m'engueuler et à prendre tout mal. J'allais passé le fait qu'il me reproche ma phobie. Il était énervé on va dire. Qu'il ne dise pas que j'pardonne pas par contre. J'irais le voir. Quand j'serais de bonne humeur. Pour l'instant faut que j'me calme et que j'finisse cette putain de bière.

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Spoiler:

» (Privé) Je déteste le camping!
» Sur l'océan ★ Charly
» Young Wild and Free - Charly
» Charly • ton regard de braise me rend merguez.
» je te paie un café ou on s'embrasse ? mais je t'avoue que là j'ai pas soif ! • Charly

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