pour toi, effie.  366 mots.

déesse effie, pour toi je me sacrifie, avoir l'air imbécile, ce n'est pas facile. j'ai mangé de la pizza, je sais que t'aimes ça (ou pas), j'ai pensé à tes beaux yeux, en payant le monsieur, les livreurs ça fait peur, t'as l'impression qu'ils te demanderaient bien une faveur ( ), mais c'pas ça le sujet, j'voulais parler de tes molets, ils sont tellement sexy que ça m'donne envie de faire du ski, malheureusement j'ai peur des sapins, depuis que j'me suis cassée la cheville en patin, j'm'éloigne du sujet, c'est parce que tu m'fais de l'effet, avec tes cheveux blonds, qui sont assez longs, j'pourrais faire n'importe quoi pour toi, genre n'importe quoi, comme m'faire ta mère, sur le bord de la mer, ou notre mère plutôt, mais l'inceste c'est chaud, j'pourrais m'faire ton copain, et alors dans ma bouche j'me fouterais du pain, pour pas gueuler trop fort, à cause de son membre d'or ( ), mais le problème c'est que j'me le tape déjà, un jour j'espère que tu me pardonneras, d'avoir fait l'amour sur la table de la cuisine, pendant que tu te rafraichissais dans la piscine, tu sais que j't'adore, je suis juste un peu folle, c'pas parce que j'mange une pointe de ton gâteau, qu'il faut qu'tu me fasses la peau, j'suis quand même ta soeur, envers moi tu ne peux pas avoir de rancoeur, j'envie tout c'que tu es, de ta paire de chaussette à ta recette de cassoulet, mais surtout ton petit-ami, sauf que ça j'te l'ai déjà plus ou moins dis, t'es tellement belle que ça m'donne envie de gambader comme une gazelle, j'atteindrai bientôt les 350 mots, tant mieux parce que c'poème est pas beau, j'aurai aimé faire mieux, mais ce n'est pas un don que j'ai reçu des cieux, sur ce je t'aime à l'infini, et j'espère que t'auras souris. -»

avouuuue, t'as été interpellé par le membre d'or.  vilaine.

hahahahahahhahahahahahahhahahahahahahahahahhaha. tu. m'as. TUÉ, et plus encore.

j'ai hâte de voir la réaction d'ivy.

j'ai vécu le truc aussi, j'avais hâte que ça finisse. en plus, l'tien est beaucoup plus 'poème' que l'mien.

Haaaaaaa, vos poèmes sont énormes!  
Et même si Ivy prends cher, j'ai bien ri. Bravo Oslo  

Ezra, tu m'as inspiré un truc de ouf :D

une ode à Ezra a écrit:

Ezra osera pas, tuer Lola, la source d'un trépas trop maladroit ?
Dans les bras de papa et maman, s'arracher pour ne jamais y retourner,
A quand la fin de la mascarade, quand la fin gagnera ton escapade,
Ou quand Lola verra enfin en toi, les vestiges de son ancien camarade,
A qui elle a prit la vie, à coup d'images d'encre et d'illustrations infinies,

Ezra osera pas, aimer Lola, le plat froid qu'il ne mangera pas ?
Dans ses bras, finalement, il entend encore quelque chose qui bat,
Et sans vraiment l'avouer, il perd peu à peu l'envie de l'arrêter.
Mais à l'image des légendes anciennes, n'y a-t-il pas,
Des muses et autres dieux qui, tel un mat,
Gouvernent nos vies à fin de réaliser leurs rêves oubliés ?
Alors Ezra, oseras-tu finalement accomplir ta destiné ?

Ou peut être, Ezra n'osera plus, tel un reptile qui se meut,
Laisser l'histoire se couler de ses épaules nues,
Et défiler entre ses poings liés et fatigués,
Tel un voile funéraire, une mémoire de frère oublié,
Se transformant en phœnix fumant ignoré,
Retournant à son destinataire, pour le souiller, le pleurer et l'embrumer.

Ezra osera pas, arrêter de taper les tambours décrépis,
Stopper sa frénésies de chairs brûlés pour se concentrer,
Sur le tas de chair putréfié qui occupe à présent ses mains calcinées ?
Chaque âme n'est-elle pas, un reflet familier ?
A travers lesquels il cherche toujours la vérité,
Même si celle si semble s'esquiver...

Ezra osera pas finalement, simplement vivre,
Sans porter de morts ou de succubes,
Sur sa route encombrées de coquilles vides,
Et sans respirer les vapeurs fines,
D'un temps jadis oublié et évaporés.

Mais ne pleurons pas, car Ezra, gladiateur,
Triomphera ses démons, c'est comme ça,
Depuis des millénaires dans les contes et histoires,
Depuis des siècles, les justes et les chevaliers ne meurent pas,
Et vivent à travers la longue et infatigable mémoire,
De nos pairs qui jamais n'oublient quand un cœur froid,
A payer plus que son prix et pleuré plus que nos frères.

Alors Ezra, oseras-tu, finalement, après tout ça, ou n'oseras-tu pas ?

Poème pour Astrid

Douce, tendre, somptueuse Astrid,
Plus belle encore que toutes les princesses de Madrid
Tes cheveux soyeux, ornent ton visage
Encore plus délicat que la plus précieuse des images

Le facteur arrive, il arrive dans les temps
Pour te livrer, sans fautes et fermement
Le plus beau témoignage de mon affection
De l'ardeur que je soutiens, de toute ma passion
Envers toi, ta glorieuse beauté, envers tout ton être
Tous ceux qui t’ennuieront, je les enverrais paitre

Le soleil brille, de ses mille feux
Mais face à toi, beaux yeux
Il n'est rien d'autre qu'un astre pale, pale dans les cieux
Je te regarde, et je vois en toi, le reflet même des dieux
Personne ne peut égaler tant d'élégance ; de grâce terrestre
Hormis les dieux célestes, membres de contrées extraterrestres

Ton regard me noie, il me transporte loin
Loin d'ici, loin d'aujourd'hui, il m'emmène aux recoins
Du bout du monde, où flots torrentiels se déchainent
Brisent navires, coeurs et espoirs, et ce, toujours à la chaine
Matin, midi, et même le soir. Ces navires sont las
Ils s'échouent sur les rives, font naufrages là bas
Ton regard me noie, mais je ne peux tourner
L'inclinaison de ma tête, car ce contact doit perdurer

Astrid, plus douce encore, que Bergès-Frisbey en personne
Astrid, reine céleste, descendue ici pour gouverner ma personne
Dis moi un mot, un seul, pour en faire un ordre qui sera exécuté
Avec passion et témérité, sans que je n'aie à me rebeller
Face à ton éternelle beauté
Qui nous appelle surtout à nous prosterner pour l'éternité

Lisa Serpova est un visage qui sied bien
À un personnage si particulier que celui qu'est le tien
J'ai hâte de découvrir, ma foi, toutes les péripéties
Que tu pourras faire subir à cette jeune fille, si, si
Si jamais l'inspiration qui t'anime s'amuse à disparaitre
Dis le moi, que j'aille m'en rendre le maitre
Je dompterais animaux et renards,
Comme ceux dont les peaux décorent les manteaux des snobinards
Si j'avais la confirmation que tel serait tes voeux
Quitte à devoir ensuite, au curé, faire des aveux

Je conclurais bientôt, car ce n'est pas chose aisée
Que de résumer, en si peu de syllabes, jusqu'où s'étend ta beauté
Éléments se battent, en guerre constante
Pour ton affection, car tu es leur représentante
La plus exquise et la plus aboutie, parmi tous leurs ambassadeurs
Envoyés sur Terre pour saisir, conquérir, et dominer des coeurs

Ni humaine, ni déesse, tu n'es pas de ce monde
Tu viens d'ailleurs, et on te suit à la ronde
On te regarde, on t'idolâtre,
On t'aime jusqu'à s'en battre

Que ton séjour sur "Be The Young" soit prospère,
Car il faut que tu sois  toujours pépère

401 mots ; yeah, Oslo.

WOOO les filles. c'est genre, puiiiissannnnnnt vos trucs.

vous êtes classes. j'vous ajoute vos honneurs. (mais là, j'suis gentille, en temps normal, vous devriez recenser l'truc. )

ooow j'vais ajouter le lien, mais c'est juuste ici .

Bon je me lance !

Cace-dédi pour Marie Deschamps !   Baudelaire et Hugo n'ont qu'à bien se tenir !

« Je t'écris ces quelques mots, pour que tu saches,
Tes regards insistant sur mon corps de rêve sont repérés.
Je te demanderai donc s'il te plait d’arrêter -ou de les faire plus discret -
Si tu ne veux pas que le vendeur  de lait ambulant ne se fâche.

Pour te réconforter je t'achèterai des mouchoirs à la menthes et des canards,
Mais attention pas n'importe lesquelles, t'sais ceux couleurs citrons,
Qui en moins de deux secondes te font monter au plafond,
Je les ai moi même tester, ils sont bien meilleurs que les homards.

Je sais que  je suis ton idéale, comme pour beaucoup, que rien ne me remplace,
Mais elle faut bien que tu comprennes que dans mon cœur il n'y a pas de place.
Du moins pas pour un fille aussi futile que toi,
Poil au bras.

Je comprends que ce rejet te fait beaucoup de mal,
Mais s'il te plait ne te suicide pas, de quelque façon que ce soit,
Non pas que je me soucie de toi,
Je ne voudrais simplement pas que ma belle image soit mise à mal.

J'espère qu'un jour tu trouveras,
Un homme qui ne se souciera guère ni de la forme ni du fond,
Sinon ne te fais pas de mourons,
Comme ton homonyme tu pourras surement donner la vie et former une famille en restant vierge. Ou pas.

En fait, t'a t'ont déjà dit que tu ressemblais étrangement -certes en moins canon- à Astrid Bergès-Frisbey ?
Avec elle j'irais bien disputer une partie de Frisbee,
Sur une plage abandonnée,
Coquillages et Cru... euh, Crudités.

Ô jeune fille au nom si  campagnard, ne soit pas jalouse,
Comme je suis trop bonne, je veux bien  à toi aussi accorder un petit moment,
Que dirait tu de venir tondre ma pelouse,
Littéralement parlant.

Je ne vous ferais pas le classique coup du "soyons amis", Mlle Deschamps,
Car je vous trouve inintéressante, mais si jamais vous vous sentez seule dans votre taudis,
Courrez aussi vite  que votre gros popotin vous le permet jusqu'à Auchan,
Les curly y sont à moins cinquante pour cent jusqu'à jeudi. »

351 Mots

Poème pour Aloisia, j'en ai bavé, merci les rimes. 350 mots tout pile :mdr:Enjoy  

Citation :

Des rêves blancs immaculés
Une enfance éclatante et insouciante
Des rires à gorge déployée  
Une jeune fille souriante

Ô Aloisia, toi l'ancienne reine
Qui jamais ne s'arrêtait
Tu as finalement gagné cette haine
De cette jumelle que tu aimais.

Le monde entier était à tes pieds
Savourant ta gloire et ta beauté
Jusqu'à ce  que tu finisses aussi démunie qu'un sans papier
Tout ce que tu avais te fut arraché 

Dans les tourbillons incessants de la vie
Ils t'ont emportés dans l'abime
D'une noyade sans fin et sans repis 
De la plus haute tour, de la plus haute cime

Tu n'as jamais réellement sût sur quel pied dansé
Tes envies et tes rêves noircis par les remords
Entravée dans tes plus profondes pensées 
Ton âme et ton cœur en total désaccords

Le chasseur deviendra chassé
Perdant pied sans tendre la main 
Pour ne plus jamais réussir à oublier
L'étau qui se ressert sur cœur éteint 

Ne t'a t'on jamais appris que voler c'est mal ?
Quand elle est censé être tout pour toi
Plus encore quand elle convoitait aussi ce mâle
Et dans la nuit noire, un chien aboit

Pour oublier l'éveil difficile d'une dure journée 
Qui s'annonce derrière d'un haut pin
D'un regard fermé
D'un doux visage peint 

Souris, pauvre enfant, car jamais la vie ne reviendra vers toi
Ton petit corps allongé au soleil
Jamais elle ne te pardonnera
Ne voudrait que demander de l'oseille

Ton âme envolé, tes pensées tourbillonnent 
Tout en toi s'écroule doucement 
Le monde autour de toi n'est plus rien que monotone
Tu attends la mort dans tes draps blancs 

Tu choisis de suivre ton sauveur
Toi qui étais si triste, tu as décidé de t'en sortir
Pour goûter à ce divin bonheur 
Mais comme tout humain, au bout du fil, tu finiras par mourir

Et durant tout ce temps tu t'es battu
Jamais plus tu n'effleuras des doigts
Un semblant d'amour perdu
Elle est partie, la joie.

Lorena, j'adoooore ton poème, même si t'es une grosse méchante dedans !  

375 mots, qui dit mieux ! Pour toi le bel Apollinaire !

Citation :

S’appeler Apollinaire,
Non mais faut le faire.
T'as de quoi en être fier,
Alors le menton en l'air !

Mais t'as rien d'un poète,
Non mais regarde ta tête !
On dirait une allumette,
Ou une andouillette !

Non mais faut pas croire,
T'es p't'être poéte d'un soir.
Et avec un peu d'espoir,
T'auras pas à sortir le mouchoir.

T'imagine on te confond avec le vrai ?
Celui qui fait pleins de sonnets ?
Soit tu t'en amuserais,
Soit du t'énerverais.

S’appeler Apollinaire,
Non mais faut le faire.
T'as de quoi en être fier,
Alors le menton en l'air !

L'idée, c'est de pas prendre la grosse tête,
Pas comme les alouettes.
Alors prend ta bicyclette,
Pour aller chercher ta baguette !

Et si vraiment t'as envie de rire,
Tu n'a qu'à faire semblant d'écrire,
Quelques vers pour décrire,
Comment cela te fait sourire.

Et si on te demande un autographe,
Attrape un stylographe,
Et écrire ton paraphe,
Voire même un paragraphe !

S’appeler Apollinaire,
Non mais faut le faire.
T'as de quoi en être fier,
Alors le menton en l'air !

J'espère vraiment pour toi,
Que t'as plus d'idées que moi,
Pour savoir mettre aux émois,
En rédigeant comme un roi.

Parce que ce qui est certain,
C'est que ces quelques quatrains,
Sont indignes d'un châtelain,
Qui aime beaucoup ... le pain.

Et puis si vraiment tu sais pas quoi dire,
T'as qu'à faire un énorme sourire,
Et prendre ton inspiration pour dire :
"Si vous voulez, vous n'avez qu'à écrire !"

S’appeler Apollinaire,
Non mais faut le faire.
T'as de quoi en être fier,
Alors le menton en l'air !

Et laisse les autres faire le boulot,
Tandis que tu vas au bistrot,
En souriant comme un angelot,
Ou rouge comme un coquelicot.

Ah ! plus que quelques vers,
Comme si j'avais que ça à faire,
Faut que j'aille voir l'apothicaire,
Pour revendre mon abécédaire !

Et voilà, j'ai réussi,
J'ai écrit une poésie,
Et je crois avoir aussi,
Avoir vaincu ce beau défi !

Allie-Théa ton poème déchire tout  !

Ah j'espère bien, j'en ai bavé pour écrire ce truc  

Marie Deschamps a écrit:

Lorena, j'adoooore ton poème, même si t'es une grosse méchante dedans !  

désolé, c'est dans le caractère de Lorena ! ^^ Contente qu'il te plaise !

Et un joli poème de 367 mots pour Amalysse !

Citation :

Pour toi Amalysse,
Ce poème, timide,
Simple et sans artifice,
Moins prétentieux qu'une pyramide.

Jeune étudiante en stylisme,
Grande et fine, pas trop charnue,
Et ta beauté jusqu'au isthmes
du bout du monde est reconnue.

Tes cheveux blancs,
ta silhouette parfaite
Ne laisserait pas indifférent
jusqu'au derniers des français.

Et moi imbécile,
dont tu dois bien rire,
avec mes mots futiles,
ose venir t'attendrir

Un nom comme Amalysse,
Noble, emplie de bonté
Pour nous rappeler les fleurs de lys,
Qui en toi aime habiter.

Mais mignonne prend garde à la rose,
car sa robe pourpre de soleil,
à la fin devient morose,
et de toi s'approche la vieillesse.

Et, de tout temps,
autant le jour que la nuit,
l'on peut encore se souvenir,
du poète qui t'acclamait, maudit !

Comme un cri perdu,
ce poème sans intérêt,
essaye de s'imposer à ta vue,
mais, pauvre de rimes, il n'a pas de succès.

Parlons des pieds, non respectés !
Désordre, aucun alexandrin !
Mais, avec l'intention de te louer,
toi et ton charme sibyllin !

Mais prends garde,
ta jeunesse n'est pas éternelle !
Mais, dans mes rimes bavardes,
je ne peux insulter un être qui semble venir du ciel !

Que d'éloges !
Tu dois me trouver bien sot,
aussi creux qu'une horloge
à essayer d'écrire trois cents cinquante mots.

Mais, que veux-tu !
Je suis bien loin de Baudelaire,
Hugo, Lamartine ou
encore Apollinaire.

Loin de mon esprit
d'avec ces quelques vers t'insulter
ne prend pas de parti pris,
mon talent n'est pas des plus développé.

Cependant, je fais appelle à ta bonté,
à toute ta compréhension,
pour comprendre, avec agilité
ce dont tu es témoin : mon admiration.

De quelles couleurs sont tes yeux ?
Gris, bleus nacrés ?
Sans aucun contentieux, pour eux,
je pourrais, toute la nuit, chanter.

Mais déjà la fin se devine,
Moi qui aurait aimé,
De mes rimes pas vraiment assassines,
Louer ton corps tout entier.

Ton visage si parfait,
tes bras fin et soyeux,
ta peau à la couleur du lait
et des déjà tes formes pourrait me rendre furieux.

Ainsi, j'espère, mignonne,
Qu'avec ce poème maladroit,
tu ne deviendras pas grognonne,
avec toute l'estime que j'ai pour toi.